Nom : Reilly
Prenom : William
Surnommé : Rhino (à cause d’un tatouage sur l’avant bras, représentant une corne de rhinocéros)
Age : 25 ans
Gang (Obligatoire pour les catégories Gangsta, Mafia, Tuneur et Yakuza ici): /
Catégorie dans laquelle vous voulez évoluer(en savoir plus ici): Spécial > Bookmaker
Caractère(4 lignes minimum) : Les psychologues qui ont eut à faire à William Reilly peuvent vous dire que c’est un homme extrêmement impulsif, colérique et surtout dangereux pour toutes personnes qui se trouvent dans son périmètres. Il suit un traitement médical pour calmer ses colères soudaines, et aussi pour le rendre moins agressif. Aujourd’hui, il est devenu plus calme qu’autrefois, mais il est toujours capable d’une violence inouïe. Lorsque des personnes ont gagnés son amitié, il est capable de montrer certaines émotions. Mais lorsqu’on le contrarie, amitié ou pas il risque de vous en coller une. Cependant, en ce qui concerne les femmes, les psy ont aussi remarqué qu’il était incapable de se montrer violent envers elles, sans doute à cause d’évènements qui ont bouleversés son enfance.
Et autre caractéristique importante, lorsqu’il tombe sur quelqu’un d’important dans le secteur criminel, il fait preuve de respect envers ces personnes qui ont réussi dans ce milieu, mais n’hésitera pas à les tuer si ces derniers tentent de le doubler.
Histoire (10 lignes minimum) : La vie de William Reilly, surnommée Rhino, n’a pas été un conte de fée, et n’est pas tiré d’un film. D’ailleurs si on adaptait sa vie dans un film, il y aurait fort à parier que ce film serait interdit au moins de seize ans, minimum.
Tout commença avec un homme et une femme… Bon ce passage serait directement sauté dans le film, les scénaristes et les réalisateurs auraient voulus passer aux évènements marquants de la vie du petit bookmaker de Boston. A préciser que notre héro est d’origine irlandaise, comme son nom nous l’indique, et comme sa manière de vivre nous le rappel.
En tout cas, l’un des faits marquants de la vie de « Rhino » est sans doute le jour, ou sa mère a décidé de le placer à l’orphelinat de la ville. Ses raisons n’étaient pas connues du jeune bookmaker, à l’époque de son adolescence, mais aujourd’hui on lui a révélé, que c’était tout simplement pour le protéger, qu’elle fit cet acte de désespoir. L’homme, qui s’était marié avec sa mère lors de sa naissance, avait frappé sa femme a de nombreuse reprise et avait même menacé de tuer William si jamais elle s’enfuyait, il montra donc un exemple en battant violemment son fils, il n’avait alors que trois ans. La mère de William ne pouvait plus supporter de savoir son fils en danger, lors d’une nuit ou son mari était rentré ivre du bar, elle en profita pour aller confier son fils à l’orphelinat, et demanda aux personnes responsables, d’expliquer à William pourquoi on l’avait placé dans un orphelinat, mais ça seulement à ses 18 ans.
Ca ne fait pas trop un début pour un film pour enfant n’est ce pas ? En tout cas, ce n’est pas la seule chose terrible qui lui arriva. Donc reprenons l’histoire ou on en était.
Lors de ses dix ans, il fut placé dans une famille d’accueil. Une de ces familles d’accueils qui profitent des enfants qu’on lui confie pour en faire de la main d’œuvre, faire les tâches ménagères et toutes les tâches que ces adultes refuseraient de faire si ils avaient le choix. Dans cette famille, la seule loi qui existait, c’était la loi du plus fort, comme en prison, seulement il n’y avait pas de cellules séparées. Il y avait quatre enfants placés dans cette famille d’accueil. Les autres enfants étaient plus vieux que lui, il n’y avait qu’une petite fille et deux garçons. Les deux garçons ne pouvaient maintenir leurs colères en eux et en firent voir de toutes les couleurs au petit Irlandais de Boston. La fille elle, essayé de le protéger, c’est peut être pour ça qu’il n’arrive pas à frapper une fille à l’heure actuelle, c’est peut être aussi le seul point commun qu’il a avec un homme normalement constitué dans sa tête.
Quelques mois après avoir été placé dans cette famille d’accueil, il fit repris à l’orphelinat qui trouvait qu’il était trop souvent à l’hôpital à leurs goûts. Seulement le mal était déjà fait, la haine qu’il avait envers les hommes venait de naître et rien aller pouvoir le calmer. Des années passèrent après ça, et chaque fois qu’il le pouvait, il essayait de montrer qu’il était le plus fort, le plus fou et le plus dangereux de tout l’orphelinat.
On passera les détails croustillant des multiples bagarres causées par William, après tout qui irait voir un film ou les enfants n’hésitent pas à se frapper ? Autant passer directement à la majorité.
On aurait pu penser que Dieu avait suffisamment éprouvé le jeune irlandais, mais on ne peut pas vraiment comprendre le tout puissant, enfin c’est ce que pense William. Lui il accepte son sort, il accepte le fait qu’il ait plus de problèmes que monsieur tout le monde, il pense que dans une autre vie, il aura la belle vie. Il avait besoin de croire en ça, à ses dix huit ans, il quitta l’orphelinat, fréquentant ainsi la mafia irlandaise pour se faire un peu d’argent, il avait déjà quelques contacts à l’intérieur. On lui fit effectuer des petites tâches mineures, mais cela ne le dérangeait pas trop, on l’envoya fracasser plusieurs personnes qui refusaient un bookmaker de la mafia. Après ça, on le bookmaker lui proposa de devenir un de ses hommes de mains, chose qu’il accepta sans hésiter.
Il pensait avoir la belle vie, après ça, jusqu’au jour, ou le bookmaker pensa ne plus avoir besoin de lui. Il fallait le comprendre aussi, qui viendraient jouer si ils savaient, que si ils perdaient et qu’ils auraient du mal à payer, qu’ils mourraient probablement. Malheureusement pour le bookmaker, William, même si il est fortement impulsif et aussi très malin et avait deviné, si on peut dire, qu’il tenterait de le tuer tôt ou tard. Seulement, William passa à l’action avant lui, il arriva à un rendez vous que le bookmaker avait fixé. Il n’y avait que lui et un autre molosse du bookmaker, William proposa à ce molosse de s’associer à lui. On retrouva alors le corps du bookmaker, huit étages plus bas, encastré dans une voiture. Rien ni personne ne pouvait arrêter l’irlandais enfin c’est ce qu’il pensait, jusqu’à ce que la mafia irlandaise, elle-même, décida de l’envoyer six pieds sous terre. Il n’avait alors plus le choix, il devait prendre la fuite…
Dans les films, on entendrait une petite musique de fin, et le générique apparaître, mais comme ce n’est pas un film, il n’y aura qu’une fin le jour de la mort de William « Rhino » Reilly
Famille : Aucune
Tatouage : Un sur l’avant bras, représentant une corne de rhinocéros, d’où son surnom. Et un tribal dans le cou.
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