Nom : Kowalski
Prénom : Chris
Âge : 33 ans
Gang : Aucun
Catégorie dans laquelle vous voulez évoluer : Special - Biker
Caractère :
En général, j’essaie de garder mon calme. Mais parfois, j’ai du mal avec certaines têtes de cons qui ne me reviennent pas. Après tout, il n’y a rien de mieux qu’une bonne baston, à part peut être une bonne cuite avec des potes bikers, une virée au guidon ou une bonne baise, quoique ça dépende de la gonzesse. La vie est trop courte pour avoir des regrets ou hésiter. Je préfère avoir des remords que des regrets, au moins je me serais éclaté. La définition du bonheur pour moi c’est avoir suffisamment de fric pour entretenir ma bécane et me payer ma bouffe, ma bière et mes clopes.
Mon véritable prénom est Christopher, mais personne ne m’appelle plus comme ça. Tout le monde m’appelle Kowalski, il n’y a que mes potes bikers qui puissent m’appeler Chris, s’ils le veulent. Dernière chose, touche à ma bécane et je te fais bouffer les ovaires de ta mère.
Histoire :
Je viens de sortir de tôle connard ! Mais vu ta gueule je doute que tu comprennes ce que ça implique et t’as l’air de vouloir en savoir plus. Je suis dans un bon jour, t’as de la chance.
Je suis né à Amarillo au texas en 1976, mes parents étaient de sacrés connards et j’ai pris plus d’une raclée de la part de mon paternel. Cet enculé me foutait une trempe à la moindre occasion… comme j’étais sur de prendre mon quota de pied au cul en rentrant, j’en suis venu à faire le plus souvent des conneries. Quitte à prendre une raclée, autant avoir la satisfaction de faire la connerie. Au moins je savais pourquoi je ramassais des coups en rentrant.
A mes seize ans, je me suis barré de chez mes parents pour tracer la route. J’ai fait du stop et c’est là qu’a commencé mon périple. Je suis monté dans le camion d’un connard de latino qui m’a jeté sur la route après qu’on se soit embrouillés dans la cabine de son Kenworth. Ce fils de pute voulait m’apprendre la vie. C’est pas un enculé de chicano qui va m’apprendre quoi que ce soit.
Je me suis retrouvé, seul, avec mon sac sur l’épaule dans une ville inconnue. Albuquerque allait pourtant devenir ma porte de sortie de la vie insipide et bordélique que je me préparais. Je me suis battu avec un biker parce que ce connard a failli m’écraser avec sa bécane. Il cognait dur, mais ma capacité à encaisser ses coups et à essayer de répliquer, sans succès, a étonné suffisamment son chef pour qu’ils me prennent à l’essai dans leur club.
Grâce à eux, j’ai appris des trucs très utiles. Tenir l’alcool, rendre les coups pour ne plus servir de punching-ball, bricoler les bécanes, bref à devenir un vrai biker. J’ai pris des coups mais j’en au rendu aussi pas mal. La seule leçon que je n’ai jamais réussi à apprendre correctement est celle ou je devais apprendre à rester à ma place. Pour avoir essayé de magouiller dans mon coin sans les autres, j’ai écopé de cinq ans de cabane avec la promesse de la pègre du coin de s’occuper de mon cas si je restais au Nouveau-Mexique après ma libération. Ces cinq ans n’ont pas été une partie de plaisir mais je crois que la pire journée que j’ai vécu en tôle à été le jour ou j’ai appris la destruction de ma bécane par les flics. Cinq ans de calvaire sans pouvoir poser le cul sur une selle.
Ce n’est pas par plaisir que je laisse tout derrière moi à 33 ans et que je me retrouve à nouveau dans la cabine d’un putain de semi-remorque en train de tracer la route en compagnie d’un chauffeur débile. Le club ne pourra jamais me protéger si je reste dans le coin, j’espère juste arriver à me retrouver une bécane rapidement une fois que j’aurais trouvé un point de chute. Ensuite je verrais où je tracerais une fois de plus, mon cuir sur le dos, une selle sous le cul et on verra ou la route me mènera.
Famille : Tous morts
Avatar : Kim Coates