De bons cigarres [PV John Isaac Anderton]

Salvator revenait tout juste de longues vacances en Italie, ces vacances l'on beaucoup fait réfléchir sur le sens de sa vie, pourquoi il était là, pourquoi il faisait le métier de mafioso, il put avoir ces réponses et il est maintenant plus près qu'il ne l'a jamais aidé, pour trouver une famiglia à qui il pourrait tout leur donné, mourir pour elle. L'avion de jeune italien avait atterrit il y a peu de temps sur le continent, mais il ne chomât pas malgré le décalage horaire, il passa à la banque, voir comme cela se présenter au niveau de son compte bancaire, car les dépenses que Salvator eux en Italie n'étaient non des moindres, mais il réussit à couvrir tout juste ces dépenses pour qu'une fois arrivé à la banque il pu constater que l'argent qu'il avait sur ce compte n'avait pas du tout bougé, il en était d'ailleurs très contant. C'est pour ça qu'il ne réfléchit pas très longtemps, car l'envie de la chose était grande, plusieurs heures sans pouvoir fumer un bon cigare italien, cela ressemblait plus à une éternité pour Salv' que quelques heures, car en Italie il prit gout aux cigares un luxe certes, mais il pensait que c'était bon de se faire plaisir. Il marchait dans les rues de Trinity City une ville qui à son départ avait déjà un taux très haut de criminalité, passa par les anciens territoires G.E.T où il y avait un taux de criminalité qui c'était grandement multiplié, on pouvait voir des dealers à tous les coins de rues qui venaient te voir et ils te demandaient si tu ne cherchais pas quelque chose, par des phrases du style: "Ya dla bombe en cas","Et, mec, viens voir, tcherche pas dla zoub ?", pleins de phrases comme ça. Mais le pire ce n'était pas les dealers, car en eux-même il ne faisait pas de mal, c'était les junkies qu'on voyait en train de semi faire une overdose ou les gens que l'on voyait se battre ou se tirait dessus, des rues qui ne donnaient pas envie de faire une escale ou même d'y passer à l'intérieur. Salv' lui ne faisait attention à personne, chaque personne qui lui parlait, il faisait style de ne pas entendre et passé au travers, jusqu'à qu'il eu atteint son but, le "Cigar' Club", c'était un club de cigare des beaux a regardé une fois à l'intérieur, l'extérieur était lui aussi beau, mais peux être moins bien que l'intérieur. Salvator se mit devant la porte et l'ouvrit.

Une fois qu'il fut à l'intérieur, il regarda l'intérieur avec le quel il ne fut pas déçu, pas du tout même, il était même beaucoup trop beau pour être si près des anciens territoires du G.E.T, l'italien regardait autour de lui, c'était beau, il y avait des tables rondes avec des chaises en bois, du chaine surement, ou du cidre. Des gens étaient assis et fumé des cigares, les odeurs que les cigares dégagés n'était pas déplaisantes. Au bout d'un moment, d'avoir regardé de partout, il vu ce qu'il cherchait, il y avait là une petite insigne avec de noter dessus sur un fond du drapeau de l'Italie "Cigares Italiens". Juste dessou de cette pancarte, il y avait un homme, il ne paressait pas Italien, mais ce qui était sur c'est qu'il avait du gout pour les bonnes choses. Salvator s'approcha de l'homme, regarda les cigares, puis il décida d'engager la conversation avec la personne ici présente.

-Bongiorno, quel cigare me conseillerez-vous ? Dit-il avec son accent Italien distingué.

[HRP: Voilà j'ai édité]

John Isaac Anderton n'aime pas les racailles, nous l'avons eu vu a plusieurs reprises. John Isaac Anderton n'aime pas non plus les gens imbus d'eux mêmes. John n'aime pas non plus les heures supplémentaires. Mais voila que 2 des conditions critiques étaient réunies dans la même journée ! Mais je m'égare.. John avait donc bien mal commencé la journée. Il avait eu le vent des rumeurs qui circulait a Miami sur le fait que Mr Parker, chef de l'Agence, allait débarquer a Trinity City. C'était des rumeurs mais quand on s'appelle Anderton, qu'on est chauve et qu'on a 43 ans, on croit aux rumeurs. Donc, pour se détendre, John avait cherché un endroit pour fumer. Ce rendant compte que dans son appart, a cause du bobo écolo du 3eme qui avait fais installer une alarme, c'était impossible, que dans la rue il devrais prêter son briquet, et que dans les lieux publics il fallais même pas en parler, John du se résoudre a trouver un Club fumeur. Donc John eu donc a choisir entre le Moulin Rose et le Cigar' Club. A choisir entre mafioso italien et mafioso français, le choix fut vite fait : Il à choisit l'Italie. Il pris sa petite Lada et parti en centre-ville. Arrivé devant le club, il se gara difficilement et descendit. Les volutes de fumés qui se dégageaient des bouches graisseuses de malfaiteurs. Comme je disais : des gens imbus d'eux mêmes. Ne trouvant pas de cigares de son pays, notre vieil Irlandais du se rabattre sur des cigares Italiens. John s'assis sur un tabouret tournant et commença a "déguster" un "bon" cigare. Mouaif, on fais de meilleurs cigares au pays. C'est alors qu'un Italien s'approcha de lui.


-Bongiorno, quel cigare me conseillerez-vous ?

John se retourna, le cigare a la main. L'italien lui paraissait pas férocement sympa mais pas hostile non plus. Notre irelandais préféré pris un cigare de bonne taille et forme dans la boite et lui tendit.

- Je ne suis pas expert, mais celui si ma l'air de bonne facture.

John regarda l'Italien faire. Comment ça on coupe le cigare ? Mais quesqu'ils sont maniérés les italiens ! Franchement, pourquoi les italiens sont ils si prétentieux ? Qui sait ? Les italiens ont surement dans leur sang ce besoin de faire voir leurs chaines et leur montre en or ? Alors que les irlandais sont tellement simple. John se rappelait d'une vieille histoire qui s'était passé près de Tara. Un homme très gentil avait, pendant des mois, aidé une femme enceinte a faire ses courses alors qu'il ne la connaissait même pas. Et sans être payé en plus. Mais qu'ils sont gentils et serviables ces Irlandais. Alors que les italiens, a part se rouler dans l'herbe quand ils ont perdu le ballon en criant "J'ai mal ! J'ai mal", ils ne savent pas faire grand chose d'autre. Cet aparté pris, nous pouvons continuer. John écouta ce que le mafioso avait a lui dire..

- Vous avez la de très bon cigares, je vous remercie bien de se cadeau. Me ferriez vous l'honneur de connaitre votre nom monsieur ?

Alors déjà, c'était pas ses cigares mais bien ceux de l'établissement. Et puis faut pas déconner, il lui passe un cigare, pas un cadeau des dieux. Nan mais je vous jure. John se retourna fixa gentiment le mafioso d'un oeil et bu d'une traite un Whisky qu'un client déjà saoul avait commandé sans le boire. En même temps, le gars somnolait en criant partout qu'il aimait les gens et la nature. Encore un italien tient.. Et après on dit que c'est moi qui généralise. John daigna quand même donner son nom.

- Anderton. John Anderton.

Il posa le verre et avala une autre bouffée du cigare. Le dit cigare commençait a rétrécir. Il le posa dans un cendrier nacré a disposition et commanda une bierre au serveur. Le serveur le regarda genre "Une bierre dans un établissement de luxe ?!" mais lui donna quand même sa petite binouse. John la décapsula avec les dents et en bu une gorgée. C'est quand le serveur arriva avec un décapsuleur et un verre que John compris qu'il fallais être plus.. classe ? Bah, a son age, il y a moment où on se doit de ne plus être classe. John toussota et dit alors a l'italien.

- Et vous ? Quel est votre nom ?

HS : Désolé du retard, Semaine de ouf !