Radd Kleston Gangsters - Racaille
Nombre de messages : 166 Gang : Ça se décide... Metier : Rappeur et Manager Date d'inscription : 28/10/2009
Feuille du personnage Arme(s) portée(s) (3 max): TEC-DC9 (9mm), Glock 17, Cran d'Arrêt
| Sujet: Re: °•. Appartement de Mya Eichii .•° Ven 9 Juil - 22:39 | |
| La jeune femme pose sa tête contre mon épaule. L'asiatique m'embrasse ensuite, avant de me dire qu'il ne faut pas que j'oublie une chose : que c'est une Yakuza, et qu'elle sait ce défendre. Être Yakuza c'est une chose, mais elle semble oublier que c'est une femme. Contre une dizaine d'hommes, elle ne pourra rien faire. A vrai dire, je me demande si même moi je pourrais faire quelque chose face à 10 gars. Mais là n'est pas le problème, je ne veux pas qu'elle vienne, c'est tout. Oui, je sais, je suis peut être un con, je m'inquiète peut être pour rien, mais je préfère que ça soit comme ça. Et je veux pas qu'on s'engueule. J'ai pas envie. A sa réponse, je lance l'argument de choc, je peux peut être passer pour un matcho, mais je m'en fous.
- Être Yakuza c'est une chose. Mais tu reste une femme...
La jeune femme m'embrasse à nouveau, puis elle me demande de faire vite. Pour elle, je ferai du plus vite possible. Mais je vais pas courir, avec une chaleur pareil c'est mauvais de s'épuiser. Et j'aime pas quand je transpire, je me trouve pas présentable. Elle sourit à nouveau, puis elle baisse les yeux, soupire. On le voit bien qu'elle veut à tout prix venir. Mais je suis désolé, je ne peux vraiment pas. L'asiatique m'embrasse à nouveau, prolongeant le baiser, pour qu'il dure longtemps, pas comme les autres. Il est pas comme les autres. Ce baiser, on dirait que c'est un message. Oui, un message. Et non je ne perds pas la boule. Je ne peux m'empêcher de sourire à cette situation, et je m'adresse à Mya, sur un ton de plaisanterie.
- Je vais pas à la guerre non plus !
Sur ces paroles, je me lève, puis je marche doucement jusqu'à la porte de la chambre. Elle s'adresse une dernière fois à moi, me demandant si j'étais sûr de ne pas l'amener. Elle me dit aussi qu'on pourrait prendre la moto pour aller plus vite. Mais n'ayant pas envie de m'engueuler avec elle pour finalement le regretter, je fais semblant de ne pas avoir entendu, et je me dirige vers la porte d'entrée, lentement. Je la passe, et je marche jusqu'à la cage des escaliers, pour descendre jusqu'à rez de chaussé. | |
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