Appartement de Jack

Après une petite marche tranquille, alors qu'il doit être minuit, j'arrive devant l'immeuble où ce trouve mon appartement... 6ème étage. Quelques lumières sont allumés par étages, des gens qui veillent. Les rues ici sont calme. On me dit que du côté Est, à Sherman Hills par exemple, c'est tout autre chose. Ici, les rues ne sont pas trop dégradés et sale, c'est même bien propre ici, il n'y a pas de clochards, ni de groupes de criminels qui rôdent. Mais bon, la police surveille aussi bien ces coins là, d'ailleurs l'immeuble donne sur le commissariat. La peinture extérieure est grise, je trouve que c'est moche, mais bon je n'ai pas envie de faire payer plus cher la mairie das un logement aux beaux-quartiers. Je rentre dans l'immeuble. Le hall est éclairé, le sol est propre, il est désert. Il n'y a aucune dégradation. Je ne m'attendais pas vraiment à ça, j'en suis ... choqué ?...

Je prend l'ascenseur. Il marche parfaitement bien, il n'y a aucune dégradation, le miroir derrière moi est propre, le tapis au sol n'est pas sali. Il monte très vite et en trente secondes je suis au sixième étage. Le couloir est aussi niquel. Je suis pour le moment tout étonné... Je rentre dans mon appartement, et je commence par le visiter, même si cette visite est rapide. L'entrée donnant sur le salon avec cuisine américaine. L'entrée donne aussi à gauche sur un couloir. A droite, les toilettes et la chambre d'invité. A gauche, ma chambre, et la salle de bain. C'est très bien aménagé, pas trop petit, la vue est assez bonne, bon il y a mieux mais franchement il y a pire. Par mesure de précaution, je ferme la porte et je la verrouille même, au cas où, quoique tout me fait penser que c'est un quartier tranquille. Mais n'en étant pas sûr, je prends certaines précautions. Je lis le document que m'a laissé le concierge. C'est un genre de règlement. Limiter le bruit à partir de 21h, pas de bruit à partir de 00h, sauf exception données pour des fêtes par exemple.

Je me déchausse puis je range mes chaussures avant de commencer à ranger ce qu'il y a dans mes valises. Habils, souvenirs, et le reste sont rangés en une dizaine de minute. Fatigué, je me déshabille et je me couche dans mon lit, avant de plonger dans un profond sommeil...

Mya et jack arrivèrent très vite devant l’immeuble, la jeune femme regarda sans rien dire. Le quartier avait l’air calme, bien plus calme que celui ou elle vit. Mais sa ne la dérangeait jamais plus que ça. Jack finit par l’emmener dans l’immeuble, ils prirent l’ascenseur jusqu’au sixième étage. C’était un immeuble magnifique, elle souria au jeune homme qui finit très vite par ouvrir la porte de son appartement. Il la laissa entrée en premier. La veste du garçon toujours sur ces épaules, elle entra et regarda autour d’elle. Mya trouva l’endroit magnifique, sérieusement. Une belle vu sur la ville en plus de cela, d’ailleurs elle s’empressa de regarder par la fenêtre. D’ici elle avait l’impression de pouvoir tout voir. Sa la fit sourire.

« Ton appartement est vraiment très jolie. »

L’asiatique se retourna et le regarda en souriant, avant d’aller vers lui, retirant la veste de sur ces épaules et de le lui tendre. Il avait été très gentil de le lui avoir prêter, sa l’avait réchauffer un peu plus sous ce vent froid.

« Merci. J’ai eu bien chaud avec. »

Souriant de nouveau, elle balaya la pièce du regard. Pour un garçon, il était plutôt ordonné, tant mieux de toute façon. Le bordel elle n’aime pas ça. Même si parfois sa propre chambre pouvait être un vrai champ de bataille, elle ne tarda jamais de ranger. En plus elle avait toujours la fâcheuse habitude de changer les meubles de place, toujours la même chose sa l’ennuyait. La jeune femme aimait le changement.

« Dit tu me fais visité? »

Le regardant doucement en souriant, elle alla très vite l’embrasser tendrement. C’est fou a qu’elle point elle ressentait l’envie de rester tout près de lui, rien que de se réfugier dans ces bras sa pourrait lui suffire. Et ça elle savait très bien, qu’avec seulement le premier regard elle avait ressentit cette chose, ce sentiment qui rendait tout individu heureux lorsqu’il le rencontrait!

Nous marchons collés l'un contre l'autre, amoureux tout deux l'un pour l'autre. Je fus très vite rassuré qu'elle aille parfaitement bien. Les dernières douleurs du combat inégal s'en vont, laissant place à un coeur comblé d'amour. Le vent commence malheureusement à ce lever, nous pressons le pas, mais j'avance toujours à la même vitesse que Mya. Bientôt, après une dizaine de minutes tout au plus, nous sommes arrivés devant l'immeuble. Le vent balaye nos visages, alors que nous sommes devant l'immeuble.

Le quartier, comme à son habitude, est calme. Pas un bruit. Les gens dorment pour la plupart à cette heure-çi. Le parc devant l'immeuble est désert. Les quelques lampadaires éclairent d'une lumière blanchâtre les allées de gravier qui mène à d'autres immeubles ou à d'autres endroits. Les voitures passent régulièrement, pourtant la route n'est pas loin. Mais j'aime bien ce quartier, même si les gens ont un peu tous une allure de petits bourgeois, ils sont sympa et 0 crime ici. C'est aussi là qu'il y a les principaux appartements de fonctions.

Avec Mya, nous pénétrons le hall d'entrée de l'immeuble, puis nous prennons l'asceuseur. Pas un échange dans l'ascenseur, nous nous contentons de nous regarder et de sourire. Nous montons bien rapidement au 6e étage. Nous marchons de manière discrète dans le couloir, et je sors les clés de mon appartement de ma poche. J'ouvre la porte, et, par galanterie, je laisse d'abord entrer Mya avant de rentrer. Je ferme la porte doucement derrière moi, puis je la verrouille. On sait jamais. Quoique normalement on risque rien.

Je me met contre le mur de l'entrée, et j'admire Mya en train de regarder tout autour d'elle, comme charmé. Elle regarda depuis le salon par une fenêtre, je reste toujours là dans l'entrée. Elle me parle depuis le salon, et exprime son avis concernant mon appartement. Elle me déclara que c'était un appartement très jolie, d'ailleurs je la remerçia. Elle revient vers moi, puis elle me donna ma veste, que je m'empresse de ranger dans la chambre. Je reviens et elle me remercie de lui avoir prêté ma veste. Je l'embrasse tendrement avant de la regarder dans les yeux et lui parler doucement.
- De rien.

Elle me demanda si j'allais la faire visiter. Je fais un signe de tête positif. Elle m'embrasse de nouveau, tendrement, puis je marche doucement en lui faisant visiter l'appartement. Nous commençons par le salon, la cuisine américaine, la chambre d'invité, la salle de bains, ma chambre et les toilettes. Nous avons bientôt fini la visite, qui ne fut pas vraiment longue, et nous retournons dans le salon.
- Fais comme chez toi ! Tu veux quelque chose à boire ?

Mya lui souria doucement. Le suivant lors de la visite. Elle trouva l’endroit très beau et accueillant. Très vite ils revinrent au salon. Il lui proposa si elle désirait quelque chose à boire. Mya fit oui de la tête.

« Je veux bien. Tu peux choisir j’aime de tout. »

Elle lui souria tendrement allant regarder par la fenêtre. Sérieusement elle aimait tellement cette vu. Quand il revint avec les boissons et lui tendit le sien. La jeune femme lui dit merci en souriant. Buvant une gorger, elle alla très vite déposer un baiser sur ces lèvres. Avant d’aller s’asseoir.

« J’aime bien ton appartement. Il est très beau. Et accueillant. »

L’asiatique alla doucement se mettre contre lui quand il la rejoignit. Le regardant tendrement dans les yeux. Il était si calme, si gentil. Et elle était très heureuse de l’avoir rencontrer. Elle avait l’impression, qu’à ces côtés son âme était reposer et qu’elle n’avait plus à s’inquiété. Près de cette homme, elle se sentait bien. Elle ne savait pas vraiment comment l’expliquer, mais tout ce qu’elle savait c’est que jamais elle n’aurait penser pouvoir être si bien avec un homme même rien qu’avec un seul regard. Tout ça pour dire, qu’elle ne désirait plus le quitter, de rester toujours à ces côtés.

« Jack… Je peux rester ici cette nuit? J’ai pas envie de rentrer chez moi. »

La jeune femme lui souria doucement. Désirant plus que tout avoir l’occasion de dormir dans ces bras, coller à lui. Le sentir contre elle. Se sentir en sécurité. Tout simplement cela.

Je récupère une bouteille de Whisky que j'avais rangée avec d'autres, puis une bouteille de Coca Cola. Un petit Whisky Cola. C'est rudimentaire, mais je suis pas un pro de la boisson. Je sors deux verres, puis je les rempli du cocktail. Je prends soin de mettre beaucoup plus de soda que de whisky. Je récupère un verre dans chaque main, puis je m'approche de Mya pour lui tendre sa boisson. J'ai pris soin de mettre un peu moins de whisky dans son verre, j'ai pas envie qu'elle tombe malade à cause de l'alcool.

Elle me remercie, puis elle boit une gorgée, moi de même. Et elle déposa un baiser sur mes lèvres après avoir bu une gorgée. Elle alla s'asseoir sur le canapé. Elle complimenta une nouvelle fois mon appartement, je la remercia de manière gentille. Je vins la rejoindre, et de manière douce, elle vint se mettre contre moi. Elle me regarde de manière tendre dans les yeux, et je ne peux m'empêcher de sourire. Mon main se pose sur sa hanche, celle opposée à moi.

Elle me posa une question. Elle veux rester cette nuit. Je ne suis pas contre. Je ne vois pas pourquoi je serai contre cette idée. J'approche mon visage du sien, puis je lui chuchotte la réponse, de manière calme et douce.
- Je ne vois pas pourquoi je ne serai pas d'accord.

Cette phrase se suit d'un clin d'oeil.

Il accepta donc qu’elle reste pour la nuit. La jeune femme souria et l’embrassa. Tout en disant un merci. L’asiatique était très heureuse de voir qu’elle pouvait rester. De toute façon elle ne voyait aucune raison pour qu’il n’accepte pas. Au pire, si il aurait pas voulu, elle l’aurait carrément harceler pour qu’il dise oui. Ma fois, elle n’en aura pas besoin. Tant mieux d’un côté, parce que sur cet chose la, elle pouvait se trouver méga chiante. A ne pas négliger.

« Au fait, tu as de la famille en ville? »

Ha oui tien. Elle ne le savait pas encore, et désirait le savoir. Elle ne savait pas vraiment si il était fort familial ou pas. En tout cas pour Mya se n’était pas vraiment le cas, pas pour rien qu’elle avait directement d’accepter de venir à Trinity, mais c’était aussi parce qu’ils étaient plus de se monde. Elle se rappel seulement de son grand père qui depuis 4 ans était décédé. D’ailleurs elle trouva sa étrange de ne pas encore avoir vue aucun policier venir la questionner, peut être parce que le pays Nippon n’avait pas encore envoyer leur rapport ou quelque chose dans le genre. Ma fois, pour le moment elle s’en fichait un peu, elle y penserait en temps et en heure.

Après avoir accepté pour qu'elle reste cette nuit, Mya m'offre un sourire, le même que depuis que je l'ai vue. Un sourire qui me donne envie de l'embrasser. Je l'aime du fond de mon coeur, il semble qu'elle aussi. Je n'ai qu'une envie pour finir la soirée : passer un bon moment avec elle, et puis la regarder dormir pendant des heures et des heures. Elle m'embrasse une nouvelle fois, prouvant qu'elle est folle amoureuse de moi. Après, je me sur-estime peut être et je me vante peut être, mais tout porte à croire qu'elle est amoureuse de moi, autant que moi je suis amoureuse d'elle. Je sais ce que je veux : je veux vivre avec elle. Je veux finir ma vie avec elle.

Après ce nouveau baiser, elle me chuchote un remerciement parce que j'ai acceptée qu'elle dorme ici. J'attrape la télécommande puis j'allume la télévision grâce à un bouton. Toujours assi avec Mya à côté de moi, je met une chaîne au hasard, avant de jeter la télécommande sur la table basse. Elle me pose une question que me dérange un peu. De la famille ? En ville ? Euh... Je n'ai pas vu ma famille depuis des lustres, et le peu qu'il me reste. A savoir trois cousins du côté de mon père, ma mère et deux cousins du côté de ma mère. Le reste est mort, à cause de différentes raisons. A cette question je la fixe, et, je détourne le regard sans répondre pendant une minute. Avant de soupirer puis de lui répondre.
- Non. Pas en ville. J'ai un peu de famille dans l'Illinois et en Russie, mais c'est tout...

D'ailleurs ça me faisait penser que dans trois jours je devrai partir pour rejoindre l'Illinois... Pour l'enterrement de mes grands parents. Ma mère m'avait téléphoné ce matin pour me prévenir. On ne connaît même pas l'origine de leurs morts.
- En y pensant, je ne serai pas là dans trois jours, je serai absent deux jours...

J'ai pas vraiment envie d'y aller, surtout qu'on va se poser des questions sur mon parcours. Voilà ce que le petit Jack est devenu va t'on dire au village. Village où j'ai passé mon adolescence. J'en profiterai pour passer le bonjour à mes recruteurs, dans une ville pas très loin. C'est ceux qui m'ont le mieux aider à choisir ma branche. Parce que au départ, je ne sais pas quoi faire dans les forces de l'ordre. Je leurs en suis donc reconnaissant.

J'affiche un sourire puis je pose la même question à Mya...
- Et toi... tu as de la famille à Trinity ? Ou ailleurs... ?

Mya le regarda doucement, se disant qu’elle aurait peut être pas du poser cette question. Du coup elle avait l’impression d’avoir fait une gaffe, l’écoutant elle découvrit très vite qu’il allait devoir partir trois jours. Du coup pendant deux jours ils ne se verront pas! La jeune femme ressentit un frisson glacial dans le dos. Elle ne voulait pas a subir deux jours de son absence! NON! Il en était hors de question!

« Deux jours? C’est beaucoup trop long. Je fais comment moi deux jours sans te voir? »

L’asiatique fit sa mine toute triste et déçu, se collant davantage au jeune homme. Elle ne voulait vraiment pas se retrouver toute seul, sans câlins, ni rien pendant deux jours! Impossible! Du coup elle réfléchissait comme pas possible à une excuse pour qu’il reste…Mais a y réfléchir c’était plutôt égoïste et la jeune femme soupira doucement, d’un air qui voulait tout dire. Peu de temps par après il lui demanda si elle avait de la famille… elle ne désirait pas trop en parler, mais d’un côté c’est elle qui avait commencé. D’ailleurs elle se rendit vite compte qu’en fait elle était carrément orpheline. Elle frissonna, rien que cette penser la rendait malade!

« heu… J’ai bien des cousins un peu partout au Japon, mes parents sont décédées il y a très longtemps. Et j’avais mon grand-père qui a été tué au japon il y a 2 ou 3 ans de ça. »

Son grand père…Cette homme qui avait tellement prit soin d’elle, cette homme qu’elle considérait comme son propre père était mort. Tué par un autre clan de Yakuza. D’ailleurs ce détail elle ne la nullement préciser, tout simplement parce qu’elle tenait pas à expliquer pourquoi ces Yakuzas ont perdu la vie si rapidement par la suite. Disons que c’est surtout de sa faute… Mais elle n’en dit pas un mot. Mya se blotit contre Jack, posant sa tête contre son torse. Pensant à tout ça mais surtout au fait que pendant deux jours elle n’aurait pas droit à ça compagnie.

« Jack…j’ai pas envie que tu partes… »

Mya fit une mine toute triste quand elle appris que je devais partir deux jours. Même si j'avais envie de rester avec elle, je devais partir, c'était obligé. Heureusement que c'était que pour deux jours. Moi aussi j'allais souffrir en pensant à elle pendant ces deux jours. Pourtant, je sais que je suis obligé d'y aller. C'était mes grands-parents, ils m'ont hébergés moi et ma mère. Je n'ai aucune autre solution, même si j'aimerai tant rester avec elle. A sa phrase qui se termine en question, je n'y trouve aucune réponse. Je me contente de l'embrasser sur le front tout en chuchotant un "je sais je sais" qui est neutre.

Mya se colle davantage à moi, presque couchée sur le canapé et moi comme oreiller. Je lui caresse de manière douce les cheveux, appréciant le moment de calme avec elle. Un soupir sors de son esprit. Je la comprends. Elle et moi vivons la même chose : pas envie d'être torturés parce que nous ne nous verrons plus. C'est ce qu'on appelle l'amour. Mais les obligations sont des obligations... Mais... mais oui, bien sûr ! En effet ! Une idée vient de me traverser l'esprit. Une très bonne idée. Mais je doute qu'elle accepte.

Je suis tiré de mes pensées quand elle reprends parole, pour m'expliquer qu'elle est orpheline en fait, et que son grand père est mort il y a 2 ou 3 ans. On l'a tué selon elle. Mais elle ne semblait pas sûre. Une autre idée me passe par la tête. Décidement je n'ai que de bonnes idées en ce moment. Je regarde Mya droit dans les yeux, puis je lui chuchote à l'oreille quelque chose.
- J'enquêterai et je retrouverai celui qui a tué ton grand-père Mya. Je te le promet...

Dans ces moments là, je ferai tout pour elle. Et j'ai dit que j'enquêterai sur le tueur. C'est que j'enquêterai réellement et de manière parfaite sur le meurtier. Jusqu'à le retrouver. Oh oui je mettrai du temps, mais je sais m'armer de patiente et je sais que je devrai sans doute baigner dans l'illégalité pour le retrouver. Mais je suis sûre d'une chose. Je le retrouverai. Et quand je le retrouverai... Je ne sais pas ce que je lui ferai, mais il risque de passer un très mauvais quart d'heure. Voir même de mourir.

Mya se blotit contre moi, posant sa tête sur mon torse. J'apprécie ce geste, et je peux m'empêcher de sourire en la regardant. Elle me dit tout bas qu'elle ne veux pas que je parte. Un soupir s'échappe de mon esprit, et je lui réponds tout doucement, tout bas.
- Pourtant il le faut. Mais j'ai bien une idée.

Jack lui dit qu’il allait enquêter sur les meurtrier de son grand père…Pour savoir qui c’était. C’était un acte très noble, mais la jeune femme savait qui c’était. D’ailleurs elle avait régler se problème directement après. Elle trouva que Jack était très touchant à lui dire cela. Même si elle le voulait, elle ne lui dirait pas qu’elle s’en était occuper personnellement. Du moins pas tout de suite, et puis de toute façon elle ne tenait vraiment pas à en parler. La jeune femme lui souria doucement, avant d’elle déposer un baiser dans son cou.

« Merci. C’est très gentil. »

L’asiatique l’entendit dire qu’il avait une idée. Se demandant quoi, elle releva la tête, le regardant droit dans les yeux. Se demandant se que sa pouvait être comme idée, la jeune femme ne cessait de le fixer, attendant qu’il s’explique, et vite. Parcequ’elle ne voulait pas attendre. Il fallait qu’il lui dise ce que c’était comme idée.

« Une idée? Quel genre? Raconte moi. »

Mya lui souria doucement. Impatiente de voir se que sa pouvait être. Fallait pas que se soit un truc tordu non plus hein! Enfin bon, elle se doutait bien que sa allait être quelque chose d’intelligent, encore heureux d’un côté. Mais elle voulait vraiment savoir se que c’était.
La curiosité quand tu nous tien…

Après lui avoir promis que j'allais retrouver l'assassin de son grand-père, elle me souria puis elle déposa un doux baiser dans mon cou. Je ne pus m'empêcher de lui sourire. Et puis après elle me remercia en me disant que c'était très gentil. Je lui chuchota un "de rien" doux et calme. Avec elle, j'étais doux, calme, gentil. Tous sentiments négatif partait. Pour laisser place à des sentiments tel que l'amour. Et puis quand je lui déclara avoir une idée, elle releva la tête, mais me regarda droit dans les yeux. Sa manière de me fixer fait qu'elle veut une réponse, et vite.

Elle me demande ce quelle idée j'ai eu, comme surprise et contente à la fois. Je la regarda, et je lui répondit d'office.
- Pourquoi ne viendrais tu pas avec moi ?

C'est vrai, seul je risque de m'ennuter en plus. Bon je sais c'est peut être un peu tôt pour que ma famille puisse voir Mya, mais sachant que mes sentiments pour elle était fort, et que de son côté c'était pareil, c'était plutôt bien de la présenter à ma famille, où ce qu'il en reste plutôt. Et comme ils habitent loin, le trajet en avion qui est déjà cher n'est pas à refaire une autre fois qui sera sûrement vite arrivé, vu à la vitesse à laquelle nos sentiments l'un pour l'autre grandissent...

Mais je trouve quand même que c'est trop tôt, que nous allons trop vite. Je ferai mieux de prendre un peu de recul... Je ne la connais pas assez après tout. Mais après je ne sais pas vraiment si ça va trop vite : quelque chose en moi me dit que ça va vite, mais je trouve que ça va à une vitesse normale. Mais c'est bien la première fois depuis que je sors avec des personnes de sexe opposé que ça va si vite et que nos sentiments l'un pour l'autre sont si fort. Mais c'est peut être la dernière bagarre qui a forgé ce sentiment chez elle... ? Après tout, est-elle fidèle ? Je ne peux pas le savoir... Et si elle était déjà avec quelqu'un ? Non ! Il faut que je chasse ses doutes de mon esprit. Mais c'est vrai que je ne la connais pas vraiment.

Mya ne dit rien pendant quelques minutes. Il voulait qu’elle aille avec lui? Dans sa famille? C’était pas un peu tôt? Enfin c’est pas que sa la dérangeait. Mais elle se demandait si elle aurait ça place là-bas. L’asiatique se sentirait un peu à l’écart. Elle ne connaîtrait personne, normal d’un côté. Mais bon…La jeune femme le regarda doucement, avant de sourire.

« Dans t’as famille? Je sais pas vraiment. Si tu y va c’est pas pour rien. Et puis je me demande surtout si j’aurais ma place. Et puis si sa se trouve il m’accepteront pas. Sa pourrait arrivé, non? »

La jeune femme reposa sa tête contre son torse, se collant un peu plus à lui. Bizarrement, elle se sentait de plus en plus amoureuse… Alors qu’elle s’était jurer que sa ne se reproduirait plus. Et pourtant voyez se qu’il en ai! C’était un sentiment plutôt « spécial » pour la jeune femme, qui la rendait constamment de bonne humeur, mais parfois elle avait peur aussi, peur de souffrir. Elle ne le désirait vraiment pas, la souffrance, c’était pas pour elle. Trop de chose c’était déjà produite dans ça vie pour qu’elle en souffre de nouveau. Cette fois elle désirait vraiment n’avoir que du bonheur.

« Je ne demande que ça d’être avec toi tu sais…Mais j’ai peur de ce que pourrait dire t’as famille… »

Elle n’avait sûrement aucune raison de s’inquiéter comme elle le faisait maintenant. Mais bon, elle était comme ça et il fallait l’accepter. De toute façon il n’avait pas le choix. Mya le regarda doucement, sans rien dire pendant quelques secondes avant de sourire. Allant doucement l’embrasser. L’asiatique ne savait pas pourquoi, mais elle avait l’impression qu’elle l’attendait depuis longtemps. C’était étrange, surtout pour elle. D’un côté on peut dire que c’était le « coup de foudre » non? En tout cas, elle savait pertinemment qu'ils allaient devoir apprendre à mieux se connaître, et cela elle était prête à prendre le temps qu'il fallait, du moment qu'elle était à ces côté.

Quelques minutes de blanc entre nous. Quelques minutes qui paraîssent éternité. Quelques minutes qui me firent douter de mon idée. D'un seul coup je n'avais plus envie. Plus envie de lui faire rencontrer ma famille. Non. Plus envie. Nous ne nous connaissons pas depuis longtemps, même pas une heure. Et qui dit que je vraiment amoureux ? Je deviens hésitant d'un coup. Je me rends compte que nous avons été trop vite. Beaucoup trop vite. Il va falloir ralentir, et très vite. Sinon ça risque de mal aller et je vais regretter toute ma vie. Restons pour le moment aux baisers et aux câlins, le temps de mieux nous connaître. Je me demande même si il n'est pas trop tôt pour qu'elle dorme ici.

Elle réponds à mon idée. Elle aussi hésite. Elle se demande si elle a sa place. C'est vrai que c'est beaucoup trop tôt. Elle croit qu'ils ne l'accepteront pas. C'est possible, et j'ai pas envie que l'enterrement de mes deux grands-parents mort d'une maladie le même jour soit perturbé par une dispute familiale. Et je sais qu'ayant un peu près tous les mêmes caractère, la dispute risque de se terminer au point. Oh et puis après tout deux jours sans me voir ne va pas la tuer ! Je suis bien obligé, et puis je sais pas vraiment si j'ai envie de rester avec elle. J'hésite. J'hésite.

Tout va trop vite. Mya repose sa tête contre mon torse, se collant de plus en plus à moi. Un soupir s'échappe de ma bouche. Elle me dit qu'elle ne demande qu'à être avec moi. Mais elle me dit qu'elle a peur de ce que ma famille pourrait dire. Oh je sais très bien comment ça va se passer de toute façon. Ils vont dire quelque chose, je vais l'apprendre, ça va partir en couilles, et ça se terminera au poing. J'ai bien réfléchis. Elle m'embrassa à nouveau.

Je me lève, pas de manière brute, mais d'un seul trait, faisant attention à ne pas lui faire mal, puis je me dirige vers la fenêtre. Sans dire un mot. Je regarde dehors le trafic routier. C'est affreux comme il y a beaucoup de voitures. Je la regarde ensuite, mais pas avec le même regard que d'habitude. Je regarde de nouveau dehors, quelques secondes tout au plus, le dos contre le mur. Je soupire, puis je m'adresse à Mya.
- Tu as raison. C'est trop tôt. D'ailleurs je me demande si tu vas rester cette nuit...

Mya le regardait, se demandant se qu’il avait tout d’un coup. Elle soupira doucement, avant de croisé les bras en le fixant tranquillement. Qu’Est-ce qui lui prenait à la fin? Ses choses la elle ne les supportait pas. D’ailleurs elle sentait son sang bouillonner de colère. En plus après ce qu’il avait dit elle se sentait vexer, mais énormément. On dirait pas comme ça, mais elle se vexe très vite, tout comme elle peut prêter un câble dans la seconde. Et pour le moment elle contenait ce petit bout de colère pour ne pas exploser. Je préviens seulement… Les coups de colère de mya…C’est difficile à calmer. L’asiatique en seulement 3O secondes de temps, c’était sentit très mal. Pourquoi ? Pourquoi sa arrivait du coup? Qu’Est-ce qu’elle à dit de mal du coup? La jeune femme soupira avant de se lever. Elle le fixait toujours puis baissa la tête. L’air de dire: « je vais rien dire…Je suis déjà assez énervée… » En tout cas elle ne dit pas un mot. Elle ne fit que poser son verre et de marcher vite fait vers la porte. Elle l’ouvrit, vu qu’elle était verrouiller, et sortit en la claquant bien fort. Elle stoppa tout de même et alla dans sa poche, sortant un bout de papier et un bic de son sac, notant son numéro de portable.
Elle se mit face à la porte et hésita de re-rentrer ou pas. Elle soupira et ne le fit pas, passant le papier bien voyant sous la porte et partit en marchant en serrant les points. Qu’Est-ce qu’il lui prenait bordel? Mya au plus elle cherchait une réponse, s’énervait de plus en plus. Et elle avait comme une douleur au cœur. Du coup elle devait bien se rendre à l’évidence…Elle en était carrément amoureuse. Ha oui, c’était certain… A peine sortit de chez lui, de partir alors qu’elle ne le voulait vraiment pas, sa lui avait fait mal. Bref, l’asiatique sortit du bâtiment, tête baisser, les mains dans les poches. Elle s’arrêta pour regarder en direction de la fenêtre de son appartement, et manque de bol, elle se prenait une bonne douche en pleine figure. Elle avait l’impression que le ciel suivait son humeur aujourd’hui. Un coup il y a du soleil, donc sa va super bien…Et ensuite de la pluie, une bonne douche, donc elle se sent méga mal. Mya soupira avant de baisser la tête et de se remettre en marche, elle qui détestait autant la pluie, il fallait que sa lui arrive alors qu’elle n’avait même pas de veste. En plus elle n’avait plus qu’à attendre le bus ou un taxi pour retourner chez elle… Le premier arrêt qu’elle trouvait, elle s’y arrêtait, en éternuant. Elle s’était prit un vilain rhume! Est-ce qu’il s’en fichait du coup d’elle? En tout cas Mya commençait à le croire. Espérant de tout son cœur qu’il finirait par l’appeler…

Mya sort. Je n'ai pas bougé. Putain mais quel con ! Mais quel con ! MAIS QUEL CON ! Putain de merde ! Fallais que je doute hein ! C'était plus fort que moi ! Pauvre con que je suis, je suis un sale type, de toute façon je trouverai jamais personne. Jamais personne. Dès qu'elle claque la porte, une rage violente m'envahi. Je coure jusqu'à la porte, puis je sors dans le couloir. Mya est déjà loin, elle va prendre l'ascenseur. Je ne me contrôle plus. Je n'arrive plus à me contrôler.
- Salope ! Sale chienne ! Sale pute !

Les insultes sortent, je l'insulte de tout les noms. J'ai envie de lui faire mal. Je veux lui faire mal. Je ne peux que lui faire mal. La colère envahit mon corps. Je me déteste ! C'est la pire des choses : le dégoût de soit-même. Je rentre dans mon appartement en attendant la porte de l'ascenseur se refermer. Cette putain est partie ! Je voudrais la tuer ! L'étrangler, serrer de plus en plus fort, l'entendre mourir. Je respire de manière forte, je suis en pleine crise de colère et j'en suis conscient. Une fois dans rentré dans mon appartement, je trouve un papier juste devant l'entrée. Un numéro de téléphone, et juste avant est marqué Mya. Par colère je déchire le morceau de papier.

Je ne veux plus lui parler, je ne veux plus la voir. Mon esprit est en conflit : je l'aime et je la déteste. Je marche doucement vers la chambre, puis je m'allonge sur mon lit. Un long soupir, et je serre l'emplacement de mon coeur. J'ai mal... j'ai mal partout... Une douleur incalifiable. Une douleur inconnue. Je récupère mon portable et je regarde l'heure. 23h. Je vais dans la rubrique contact, puis j'appelle le numéro d'Adrien. J'appuie sur le bouton appel, et je rapproche le téléphone de mon oreille gauche, et de mon visage...
- Adrien ? Ouais c'est Jack
...
Non ça va pas... Viens me chercher chez moi, je t'expliquerai.

Je raccroche et je jete le téléphone contre le mur.

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